Une loi pour limiter le développement des centres de la mal bouffe serait reconnaître leur nocivité. Une fois de temps en temps, pourquoi pas. Mais le "goût de la liberté" une fois couplé à la sociologie du territoire tend à démontrer que les clients ne sont que des cibles d'un marché mondialisé. Non, sans nostalgie aucune, ce n'était pas plus cher avant et c'était même meilleur. On en discute ?
Programme CN'O : Dans l'Oeil de...